Une histoire coquine qui suscite l'engouement de ses premiers lecteurs, vous trouverez dans ce billet, les témoignages de certains d’entre eux.
Ce fut une délicieuse surprise que de recevoir les commentaires, positifs, de mes premiers lecteurs. Captivés par cette nouvelle prenant racine dans les débuts du mouvement féministe. De leur propre aveu, ils ont plongé tête première dans l'univers sensuel d'Anne de Breuil sans pouvoir l’en sortir.
Audace et fougue caractérisent cette jeune femme de la noblesse anglaise, bravant les conventions étouffantes de la haute société du début du XXe siècle. Son mariage, un hymen sans hymne charnel, la laissant insatisfaite, son mari se montrant aussi passionné qu'une huître en matière de volupté.
Au fil des pages, Anne s'affranchit, s'élève au-dessus des carcans et des interdits de la bonne société anglaise, à la pudeur rougissante.
Ma plume, volontairement rapide, presque fugitive, a esquivé les fioritures pour plonger le lecteur dans le brasier des pensées d'Anne, le rendant complice de ses rébellions et de ses transgressions. Des échos couchés sur mon écran me sont parvenus de ces lecteurs charmés, liés au récit jusqu'au mot fin.
Écrire ce roman fut un délice, une gourmandise littéraire exquise à composer.
Voici donc, de chapitre en chapitre, leurs impressions.
Prologue : Fouette, cocher !
MO : « J'aime ce démarrage qui claque et souffle comme un vent de rébellion ! On sent l'audacieuse héroïne ! »
EP : « Belle entrée en matière. Le cadre est bien posé. Je visualise bien cette jeune femme en colère (un peu aidé par l'illustration tout de même). C'est vif, piquant, documenté. »
Chapitre 1 : L'Anguille d'Olivier de Breuil
PA : « Et Vlan le Monsieur vient d'en prendre pour son grade. Le pauvre il est enfermé dans un carcan religieux, de caste et d'éducation Judéo Chrétienne de l'époque victorienne. Alors que sa femme est en avance sur son temps. »
DE : « Si vrai Malheureusement, en 1909 , dites et en 2023 , c'est toujours d’actualité, seuls les costumes ont changés , jolie illustration.......... hop je poursuis »
Chapitre 2 : Secret Réduit
PA : « Elle est vraiment frustrée la Milady. Au point que son imagination déborde de tous les côtés, et il n'y a pas que l'imagination. »
MO : « On ressent la colère de cette jeune femme passionnée... On se plaît à penser que l'on pourrait contribuer à combler sa frustration... »
DE : « Succulente de fraîcheur, une certaine poésie grivoise émane de vos pages .... Merci à vous. »
Chapitre 3 : Ma bonne Mandy
LE : Eh bien, une belle séance saphique ! Et de bons sucs à lécher ! :)
MO : Un zeste de lubricité comme j’aime ! Diable, et dire que d'aucuns refusent de s'adonner à ces caresses ! S'ils savaient le bien que peuvent faire des lèvres gourmandes conjointement à des doigts gourmets …
PA : très belle Scène lesbienne Whaoo, L'intensité monte. 🔥🔥Si jamais elle tombe sur un "pic" la lady Winter va fondre comme neige au soleil 😉😉
Chapitre 4 : le château de Craigdarroch
EI : j’adore ce tableau de famille 😁. Piquant et saignant à souhait. J’avais un sourire jusqu’aux oreilles en le lisant. La vie de Anne Winter est à la fois aisée, comparée au petit peuple, est frustrante pour une femme réclamant son émancipation…
MD : Une description de la vie d’une famille de province, on dirait presque du Chabrol ! C’est irrévérencieux, mais tellement vrai lorsque l’on dépeint l’ennui…
LE : Quelle famille ! J’adore tes descriptions ! Bravo !
Chapitre 5 : Chasse à courre
EP : Ahah, excellent cette chute 😄. C’est un vrai plaisir de suivre les pensées coquines de cette femme. J’ai aussi appris un nouveau mot : pibole. Merci 🙂.
DE : A les plaisirs de la chasse et la Queue de Renard bien jolie pour en faire un bijou... 🙃
PA : Je pensais que l’histoire était en Angleterre ? 😉😉Et là elle veut la queue et les deux oreilles comme en Espagne lors des corridas. 🤔🤔
Chapitre 6 : Edward de Battenborough
EP : Alors, je répète que j’adore suivre les pensées de cette jeune femme 😋. Et le jeu du monologue reflétant les dialogues que nous n’entendons pas est un outil tout à fait intéressant dans ce cas. Pourrait-elle sauter sur la table avec toutes ses jupes bouffantes autour d’elle ? L’image en tout cas est hilarante. Quant à Wilde, comment son évocation en telle compagnie pouvait faire autre chose que jeter un froid : imagine, un sodomite !
DE : succulent votre texte, une jeune femme à l’esprit vif...... sourire
Chapitre 7 : La surprise de Lady Winter
DJ : Chaud, très ! Inspirant pour faire plaisir à sa femme ! Cela vient de me donner une idée pour notre prochaine soirée ! Merci Miss !
ED : Je ne savais pas quand et pourquoi, les vibromasseurs avaient été inventés. Maintenant, c’est fait ! Un cours d’histoire, très érotique… Géniale, ton idée.
Chapitre 8 : Hoochie Coochie
MO : J’aime le style de ce gentilhomme ! Il sait provoquer le feu intérieur de notre héroïne, qui ne saura pas résister à ses envies les plus folles lors de leur prochaine entrevue ! J’ai hâte de la découvrir éperdue de désir.
PA : déjà qu’elle est à 1000 Trs/min, il la fait attendre. Je pense que lorsque ça va exploser type bombe atomique elle va plus s’arrêter de jouir. 😉😉Merci Johnny tu nous as appris a « allumer le feu" 🔥🔥, Mais là c’est un volcan.
Épilogue : Happy Christmas
EP : J’ai beaucoup apprécié cette histoire. Vive, enjouée, humoristique, très érotique. Merci pour tout ceci. Lady Winter, mère, est probablement un peu plus qu’il n’y paraît, au vu de ce cadeau. Une dernière pensée pour Anne : la femme américaine de cet homme est peut-être ouverte aux jeux à trois. 🙂
Cpl1 : Coucou à vous, merci pour cette belle lecture (avec Lady Winter, entre autres) 🥰c’est apprécié et bon temps des fêtes… Nous 2 :)
Dans un souci de véracité et d’équité, permettez-moi de vous présenter le seul commentaire négatif que j’ai reçu, de la part de JE : "Trop court, j’en aurais lu deux fois plus".
Une dernière confession d’une servante de votre imaginaire : l'écriture de mon récit, teinté d'histoire, d'érotisme et d'humour, m'a un instant fait redouter d'avoir franchi les bornes, flirtant avec un langage peut-être trop osé pour une plume féminine. J'ai, avec un plaisir non dissimulé, pioché dans le lexique débridé, d’une classique de la littérature érotique, les "Onze mille verges" de Guillaume Apollinaire, maniant avec délectation ces termes à la fois crus et savoureux qui titillent l'esprit du lecteur.
Pour terminer cet article, consacré à ce récit aphrodisiaque, je vous fais part de ce dernier commentaire, le plus concis, qui, cependant, résume tous les autres :
AN : « Sublime ! »
Je vous invite à plonger dans le récit captivant de « La surprise de Lady Winter », une histoire qui aborde les confins de l'érotisme féminin au début du XXe siècle. Soyez prêt à sonder les abysses du désir, à vous immerger dans l'intensité d'une passion, à découvrir les délices d'une transgression incarnée par une jeune femme audacieuse, précurseur des libertés sexuelles contemporaines.
Disponibles en deux éditions :
Une classique pour un voyage sensuel dans le texte
Une enrichie d'illustrations glamour et érotiques afin de prolonger votre rêverie
J'achète « La surprise de Lady Winter »
NB : Dans le souci de préserver l'anonymat des individus ayant participé aux différentes phases de bêta lecture, par le biais de mes deux profils sur des plateformes numériques, seules les initiales des pseudonymes sont divulguées dans cet article. Cependant, je tiens à vous assurer que ces retours sont authentiques et émanent de fidèles lecteurs qui m'accompagnent depuis mes débuts dans l'écriture de récits érotiques.
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